Numérisation de films argentiques sur Marseille

La numérisation de films argentiques

          Nous réalisions le transfert de film via un projecteur 8mm | Super 8. Malheureusement, les demandes qui nous étaient faites sur ce type de service audiovisuel n’étaient pas fréquentes, et dans l’intervalle, notre projecteur nécessitait un remplacement de courroies, une prestation qui s’avérait assez onéreuse, sans parler du fait qu’il fallait aussi gérer le risque d’une éventuelle détérioration des bobines.

Nous avons donc décidé de tester un magasin (http://www.micro-film.net) au 25 Bd Chave à Marseille. A noter que c’est une boutique qui ne fait que réceptionner et vous rendre votre commande, leurs ateliers étant situés à Aix en Provence.

Après en avoir fait l’expérience, au premier tour d’horizon, on peut dire: Les prix sont relativement corrects ■ Les films sont restitués dans leur état de dépôt ■ Les délais sont compris entre un et deux mois.

Au niveau de la numérisation, nous leur avons mis à disposition un disque dur ce que d’ailleurs nous vous conseillons de faire dans un premier temps ■ Pourquoi donc ? ■ De cette manière, vous récupérez des fichiers « bruts » (souvent des .avi), faciles à lire, à copier et à travailler depuis un ordinateur ■ Si vous optez d’emblée pour un service de « Transfert sur DVD », les fichiers seront déjà compressés, donc de moins bonne qualité et leur manipulation s’avèrera plus technique et plus complexe.

Que dire des fichiers qui nous ont été rendus ? ■ Ils étaient lisibles et exploitables, ce qui est déjà en soi une bonne nouvelle, car selon la qualité des sources, on est toujours sujet à d’éventuelles surprises.

Cependant, en ayant une approche plus technique, nous avons pu nous apercevoir que : ■ La vitesse de défilement était trop lente ■ La correction d’exposition non faite ■ Idem pour la correction colorimétrique ■ Peut-être est-ce parce que nous n’avons demandé qu’à faire la numérisation des films…

Ce qui est sûr c’est qu’en constatant ceci, cela nous a conforté dans le choix de ne sous-traiter que la partie numérisation, et d’assurer derrière la partie traitement que nous maîtrisons, et grâce à laquelle nous avons pu obtenir un bon résultat.